lundi 29 août 2011

ni catastrophisme ni angélisme...

Notre regard est forcément subjectif . Nous aimons souvent désigner des coupables ou nous pensons détenir la solution miracle. Il en va de l'école comme pour le reste...
S'il est impossible d'éteindre les polémiques ou les commentaires que la rentrée va raviver, si politiques et citoyens auront à choisir pour le pays quelle école ils souhaitent vraiment, à quel prix et pour quels objectifs, nous ne devons jamais oublier notamment dans l'enseignement du premier degré, que les interactions sont si nombreuses, les facteurs humains et sociaux si prégnants, le poids des représentations si fort, qu'il n'existe certainement pas "LA" solution mais que dans tous les cas, il est possible d'agir et de faire progresser chaque élève... et si le consensus ne vient ni d'en haut, ni de l'extérieur, les professionnels le construiront "in situ" sans jamais oublier de s'inscrire dans le cadre général et national qui en fixant la partition à jouer, donne des repères et nous aide à mesurer l'avancée...

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